Dans le paragraphe 10.2.2.(Impact sur le rayonnement infra-rouge thermique « en haut du CO2 » ) vous écrivez :
« La bande principale d’absorption du CO2(600-750 cm-1 ou 18 THz à 22,5 THz) se renforce, et donc, « en haut » du CO2.: le rayonnement thermique troposphérique est libéré plus haut, donc plus froid, donc moins puissant. »
Or, si j’ai bien compris, le rayonnement est émis dans la stratosphère dans une zone où le gradient vertical de température est positif. Donc s’il est libéré plus haut, suivant votre raisonnement, il n’est pas moins mais plus puissant…conduisant à un refroidissement de la stratosphère et par conséquent de la surface (si le gradient thermique gravitationnel fait son œuvre…).
Ric
Oui, la phrase est approximative : le « plus haut > plus froid » n’affecte effectivement guère que les deux ergots latéraux de la bande d’absorption, qui sont dans la troposphère. La partie plus centrale, stratosphérique, est peu affectée, mais effectivement en sens contraire. En toute rigueur, vous avez raison, mais un refroidissement de la stratosphère se traduirait aussi par une élévation de la tropopause (point de départ du Gradient Thermique Gravitationnel) : tout cela mériterait sans doute qu’on s’y attarde un peu, mais je pense que ça joue seulement au deuxième ordre.
Dans le paragraphe 10.2.2.(Impact sur le rayonnement infra-rouge thermique « en haut du CO2 » ) vous écrivez :
« La bande principale d’absorption du CO2(600-750 cm-1 ou 18 THz à 22,5 THz) se renforce, et donc, « en haut » du CO2.: le rayonnement thermique troposphérique est libéré plus haut, donc plus froid, donc moins puissant. »
Or, si j’ai bien compris, le rayonnement est émis dans la stratosphère dans une zone où le gradient vertical de température est positif. Donc s’il est libéré plus haut, suivant votre raisonnement, il n’est pas moins mais plus puissant…conduisant à un refroidissement de la stratosphère et par conséquent de la surface (si le gradient thermique gravitationnel fait son œuvre…).
Ric
Oui, la phrase est approximative : le « plus haut > plus froid » n’affecte effectivement guère que les deux ergots latéraux de la bande d’absorption, qui sont dans la troposphère. La partie plus centrale, stratosphérique, est peu affectée, mais effectivement en sens contraire. En toute rigueur, vous avez raison, mais un refroidissement de la stratosphère se traduirait aussi par une élévation de la tropopause (point de départ du Gradient Thermique Gravitationnel) : tout cela mériterait sans doute qu’on s’y attarde un peu, mais je pense que ça joue seulement au deuxième ordre.