La révision G comporte une refonte complète du chapitre 10 relatif à la sensibilité climatique au CO2, c’est-à-dire à l’effet d’un doublement de la concentration en CO2 sur la température.

Le calcul en est totalement simplifié, et donne, en partant des chiffres (incontestés) de James Hansen, une valeur plafond de 0,65°C.

L’élévation de température est proportionnelle au logarithme de la concentration de CO2, ce qui signifie que pour l’augmentation de concentration que nous avons eue (50% en passant de 280 à 420 ppm), l’augmentation de température aurait dû être tout au plus de 0,45°C.

Or, elle a été de 1,1 °C : il y a donc nécessairement d’autres causes, que le GIEC se refuse à étudier.