Les rapports du GIEC (WG1) s’appuient sur le bilan radiatif de la Terre, en particulier à la surface du sol.
Or, le rayonnement solaire arrivant à la surface du sol est très insuffisant pour justifier la température moyenne de 15°C qui y règne : par comparaison, la température moyenne à la surface de la Lune (qui reçoit le même rayonnement que la Terre), pour autant que cela ait un sens, est de l’ordre de -80°C.
Pour apporter le complément nécessaire, le GIEC s’appuie sur une théorie dite de l’ « effet de serre atmosphérique« , selon laquelle l’atmosphère absorberait le rayonnement infra-rouge remontant de la surface du sol, et le renverrait, amplifié, après absorption, par rétro-rayonnement vers la surface du sol.
Ce mécanisme est une hérésie physique : voir